CREAŢIE LITERARĂ
- POEZIE ÎN LIMBA FRANCEZĂ
- ŞCOLI GENERALE
Menţiune – STANCU MIHAELA, V – Grup Şcolar Mihăileşti –
Şcoala cu clasele V-VIII Popeşti / prof. NICULAE MARINELA CRISTINA
Je
...
J'aime le soleil et la lune,
J'aime les arbres et les feuilles,
J'aime la terre et le ciel.
Je suis un enfant,
Je suis une âme,
Je suis un coeur.
J'aime le jour et la nuit,
J'aime l'hiver et l'été
J'aime l'eau et le feu.
Je suis un regarde,
Je suis un sentiment,
Je suis un désir.
L’enfant
naïf
Je suis un enfant,
Beau et heureux,
J`ai de grands rêves,
Je suis un élève appliqué.
Je pense seulement aux jouets,
Je joue des jeux
d’enfant,
Je rêve de devenir quelqu’un,
D’écrire un livre, aussi,
Je veux devenir astrologue
Pour lire dans les étoiles,
Ou me fait un médecin
Pour sauver des vies.
Je
ramasserai
Je ramasserai toutes mes pensées
Et j’écrirai un livre,
Mes amies la liront, peut-être,
Et ils se réjouiront.
Je ramasserai tous mes rêves
Et je ferai deux ailes,
Avec lesquelles l’espoir s’envolera
Et elle ne tombera, peut-être
Je ramasserai tous mes mots
Et je chanterai une ballade,
L’enfance l’écoutera,
Et elle ne partira, peut-être.
- LICEE
Premiul I – BANU
ALESSANDRA, IX - Colegiul Naţional „Unirea” Braşov / prof. CROITORU GABRIELA
Opale velours
J’observe une lumière lointaine
Provenant d’une vingtaine d’étincelles.
Les douces nouvelles étoiles
Qui pensent à leur avenir boréal,
Pensées clairsemées qui
m’envahissent
De longues avalanches de sommeil,
Le soupir indifférent d’une tant admirée
corneille.
Un humide paradis…
Presque vécu sans aucun souci.
Les traces visibles sur son visage,
Sur ses joues, la folie d’une teinte
plutôt sage.
Des mètres carrés de boisage
Qui m’attendent pour un certain voyage.
Pensées clairsemées qui
m’envahissent
Je suis entrée dans cet imaginaire espace,
Croyant que la lumière lointaine
Pourrait vraiment être liée à une vivacité
humaine.
L’opale velours d’une période qui m’attire
Me pousse vers,
Vous savez qui,
Vers l’enfance..
Où il n’y a que d’inimaginables joies!
Où tout était possible
Lors des invraisemblables bêtises!
Nymphéas de mon passé
Submergée par cette forme d’art
Moi, le grand souriant
Je ne sais rien…
Les nymphéas me semblent
Des regards qui tremblent.
Car, ça peut devenir parfois dur,
De ne pas comprendre,
Parler de son enfance
Avec nulle radiance.
Un genre d’épisode paranormal,
Présenté
jusqu’au bout
De son propre
âme.
Les pures nymphéas de mon passé
Ici présents
Dans mon soupçonnable écrit,
Étaient les plus sacrés éléments là-bas,
Dans les ans innocents de mon ancienne
vie.
Maintenant, les échappements ne sont si
fragrants,
Du sable émoustillant
Soudain, je me suis mise à me moquer,
Je n’ai plus de pitié,
Ni de naïves amitiés.
Les vagues qui me regardent passivement
N’écoutent que du violon.
Le temps flagellé coule si vite
Que sa devise m’est en vain.
Cette interminable chanson,
Musique avec du violon,
Ne me quittes pas!
Seulement si…
Mes cils
se séparent en deux,
Seulement
si…
L’image
de l’enfant perdu me parvient mieux,
Seulement
si…
La
douleur passe sombrement,
Son
image égarée m’appartient définitivement.
Je suis
vite partie en continuant
Une
toute vacillante partie de mon séjour.
Jadis,
il m’a prêté, il m’a même dit
Que nos
rêves ne seront jamais oubliés.
C’est
l’enfance, l’immortelle…
En me
regardant dans un miroir,
J’ai cru
voir un idéal.
Seulement
si…
Les
apparences nous détournent,
Seulement
si…
Avant,
elles paraissaient si lourdes.
En
gesticulant devant un ivoire,
J’ai
enfin rencontré l’autre regard.
C’est
elle, l’éternelle…
On ne
craignait rien, ni personne,
On
n’avait le moindre stigmate de douleur,
Seulement
l’ardeur était sentie.
La
solitude des jours mûrs
Vivant
avec la capacité d’aimer
De mon
esprit, du tien.
Les
caresses,
La
diablesse,
Je
couvrirai l’unisson ivre
Avec
l’enfance, l’immortelle…
Mais je
bouge pas en arrière,
Si
seulement l’éternelle…
Voici
mon histoire,
L’histoire
de ma jeunesse
Dévoilée
sans rimes
Pour un
auteur qui voudrait
Rester
anonyme…
Premiul II – BURCIULESCU VICTOR, IX –
Grup Şcolar Agricol Costeşti / prof. ŢUGUI ALINA
L’ENFANCE
L’enfance c’est l’essence
De l’innocence.
J’aime le jeu et l’espoir
Comme un enfant aime son tressoir.
J’adore le printemps avec son verdure
Qui me donne le sentiment d’une capture.
J’ai pris dans mes mains la jeunesse
Comme la Blanche-Neige L’Archiduchesse.
Tout est parfait dans ce monde
Où le rire abonde
Tous les enfants sont joyeux
sans être peureux.
MON DÉSIR
Un jour, je me suis réveillé,
Quelqu’un m’a conseillé
D’essayer avec le doigt l’innocence
de l’enfance.
Je réussirai à surmonter mes difficultés
Quand mes idées seront acceptées.
Je voulais devenir comme un enfant
Qui n’a pas peur d’un éléphant.
Pour n’être pas anxieux
J’ai fermé les yeux.
Dans ce monde tout était merveilleux
Sans rien scandaleux.
LA JOIE DE
PARTAGER
La joie de partager,
De danser, de nager, de songer
Tout est permis
Quand nous ne sommes pas soumis
Soumis au chagrin.
Pour un enfant la vie est rose
quand il a seulement une rose.
Elle sent si bon
comme un bonbon.
Premiul III – STROE CONSTANTIN, XI -
Colegiul Tehnic Forestier Rm. Vâlcea / prof. ION MARIA ADELINA
L’enfance
Le grand tapis est plein des fleurs;
Chaque fleur est un enfant ;
Chaque enfant est un sourire.
Sur les lèvres du temps
Toutes les fleurs représentent l’enfance.
L’enfance est tant près de moi…
Un pas que j’ai fait même hier,
Une parole que j’ai dite tout à l’heure,
Une image vive de moi-même,
Une plaine des années prospères
Avec des racines qui tirent leur sève
De la terre.
L’enfance
L’enfance…est partie
Sur un chemin qui ne se tourne pas
Avec odeur d’un gâteau sucré,
Avec odeur des pommes au four.
Un jour quand il fera du soleil
Je serais de nouveau enfant
Et je vais monter dans le grenier
Plein des souvenirs.
Parmi autant d’araignées
Je te trouverai, mon enfance,
Et je te sortirai de ma valise
Poussiéreuse et vide.
L’enfance
L’enfance est comme une histoire
Qui t’empare et puis te laisse.
On devient vieux – on doit dire qu’elle a
été belle…
Mais elle a été dans ce moment-là,
aujourd’hui n’est pas.
Apprends à vivre l’enfance!
Car elle s’en va rapidement…
On ne pouvait pas dire qu’elle a été belle
Quand elle s’est perdue dans l’infini.